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Un peu de… Prix Lucien Vanel
À moins d’habiter à Toulouse, et encore, vous n’avez sûrement pas entendu parler de ce « jeu-concours » qui récompense les restaurants de la ville. Sauf le mien. Et bien oui, car j’ai refusé d’y participer. Pourquoi ? Parce que je trouve que ce prix toulouso-toulousain ne fait pas avancer le schmilblick et qu’il ne dynamise ni ne participe au rayonnement de la ville. Alors, en plus, quand je vois que l’office de tourisme et la Mairie de Toulouse, qui avaient refusé d’apporter plus d’argent aux Rencontres Gastronomiques, participent à cette vaste mascarade, je m’abstiens. |
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Beaucoup de… challenge
La cuisine a le vent en poupe. Il n’y a qu’à voir cette déferlante d’émissions qui naissent à la télévision. Top Chef sur M6 contre Master Chef sur TF1. D’un côté les professionnels, de l’autre les amateurs. Qui remportera la manche ? Qui réalisera la plus belle audience ? C’est valorisant pour notre métier, ça suscite des vocations, mais attention aux déçus. On ne devient pas cuisinier du jour au lendemain, c’est un vrai métier, qui demande des années d’entraînement, de la rigueur, et où l’on passe bien souvent toute sa vie dans l’ombre plutôt que sous les feux des projecteurs… |
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Passionnément d’… amitié
La cuisine, c’est comme le rugby, ça crée des liens. Et quand on a les deux passions en commun, des affinités encore plus fortes se tissent. Avec Yves Camdeborde, chef du Comptoir du Relais à Paris, nous partageons ces deux passions même si, c’est vrai, comme il le dit, je n’ai jamais joué au rugby. Mais je suis plus fort que lui à la course à pied ! Bref, l’an passé, à l’occasion du classico Stade Toulousain-Stade Français, nous avons été interviewés pour le magazine du stade de France, Jour de stade, pour lequel nous avons composé notre équipe de rugby par le menu. A la veille des rencontres du Top 14 et de la H Cup, je vous propose de (re)découvrir cet article ici |
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